Opportunités, freins et défis du datacenter africain

« L’Afrique est certainement le premier continent qui va naître avec une génération complètement digitalisée », observe Paul-François Cattier, le président de Schneider Electric en charge de l’Afrique francophone.

L’Afrique francophone voit son expansion directement liée à sa démographie, très jeune.

« L’âge moyen est de 17 ans. La population adopte rapidement les toutes dernières technologies mobiles et Internet. »

Les services numériques pour l’administration, pour l’industrie, l’artisanat ou la TVHD se développent vite, et requièrent la création de nouveaux centres de données régionaux.

« Ces datacenters locaux vont régler le problème de la bande passante, des délais de latence et de la souveraineté des données. »

En dépit des difficultés du climat (température, humidité), les gouvernements et les entreprises privées étudient attentivement les opportunités liées à l’arrivée de la fibre optique, des smart grids, des objets connectés et de la réalité augmentée.

Ces nouvelles technologies se répandent « plus vite que le déploiement de l’énergie indispensable aux datacenters », note toutefois le manager de Schneider Electric.

Pour en savoir plus, visualisez l’interview vidéo de Paul-François Cattier, président de Schneider Electric en Afrique francophone, marché très prometteur :

 

Auteur de l’article : la Rédaction

Journaliste et fondateur de l'agence éditoriale PulsEdit, Olivier Bouzereau développe la communauté open source OW2, des services et contenus pour les médias, événements et professionnels de la santé et des technologies numériques.

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