Le modèle zéro confiance requiert un manager

Pour Boris Lecœur, le directeur général France de CloudFlare, un chef de file est nécessaire pour mettre en œuvre une approche Zero Trust adaptée aux enjeux du télétravail et de la transformation numérique de l’entreprise.

« Qu’il soit exploitant informatique ou RSSI, peu importe d’où vient le Chief Zero Trust Officer, pourvu qu’il ait un mandat clair de l’équipe de direction et une visibilité claire sur ses enjeux de sécurité. Charge à lui d’améliorer la faculté d’innovation de son entreprise en environnement cloud hybride, en adaptant la sécurité et les réseaux, » recommande Boris Lecœur, le directeur général France de CloudFlare.

L’éditeur californien consolide les solutions de cybersécurité via une plateforme cloud évolutive. Les protections WAF (Web Application Firewall), DDoS (Distributed Denial of Service), l’approche Zero Trust et le suivi des robots sont ainsi regroupés, ce qui simplifie l’architecture et permet de consolider les coûts. Rappelons que la stratégie zéro confiance consiste à se méfier, par défaut, de chaque infrastructure traversée.

Pour en savoir plus, lire l’interview ci-dessous accordée à DCloud News, lors de Ready for IT en mai dernier :

« Vingt pour cent du trafic Internet est capturé par notre plateforme. Cela nous donne une volumétrie significative sur les menaces et sur les dernières attaques en cours, les plus récentes. Nous détectons ainsi des signaux faibles qui viennent enrichir nos moteurs de Machine Learning et améliorer nos protections en temps réel. »

Auteur de l’article : la Rédaction

Journaliste et fondateur de l'agence éditoriale PulsEdit, Olivier Bouzereau coordonne la communauté open source OW2, conçoit des services et contenus en ligne, des conférences et formations pour les professionnels du numérique, des médias et de la santé. Profil LinkedIn.